Au moulin de Perutz, on y vient pour ses peines ;
Le meunier obéit aux démons punisseurs,
Il sert également l’évêque meurtrisseur
Et sa manufacture à la marche inhumaine.
Du noble cavalier les espérances vaines
N’ont jamais altéré sa première verdeur ;
Il vivra pour son roi dans ses grandes ardeurs,
Car un sang de héros circule dans ses veines.
J’entends le vieux meunier qui parle à faible voix
Pour guider vers l’Enfer le voleur aux abois ;
Un ange cependant les regarde sans cesse.
Chacun des deux rencontre un trépas différent ;
Leurs destins sont obscurs, cet auteur préférant
Que ne soit détrompée la petite princesse.
Cochonfucius
Lire aussi
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire