Fluidité d’un souffle dans le chant cristallin
Rive sans fin dans la douceur de l’Orient
Je n’ai plus de chair, je suis sans corps, suis-je le vent ?
Suis-je encore dans cette flamme sans fin ?
Suis-je encore, qu’as-tu fait de moi ?
L’écho perpétuel, l’Echo troublant de Ta voix
Est le son qui palpite, onde jusqu’à Tes pieds
Onde qui revient et me fait sans cesse agréer
Dans le désert, sifflement léger : je Te vois
Dans les plaines, au sommet des monts, je suis
Onde qui revient et me surprend cette fois
Puis encore, le son résonne et s’amplifie
Mes bras sont l’Éloge du Roi, brûlante
Encore je reviens vers Toi, tremblante
M’évanouir dans le Souvenir
Pour que l’Unique se souvienne de moi
Nulle crainte mon dernier soupir
Encore, le Seul pour Toi.
Océan sans Rivage
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