Blason de Hildburghausen (Thuringe, Allemagne)
Il est des rencontres que l'on ne peut oublier.
Il est des profondeurs à jamais unifiées à L'Être.
Il est des Hiérarchies qui sont à magnifier L'Instant.
Il est des larmes qui sont l'océan de notre Amour.
Il est des regards qui sont l'effusion de notre Silence.
Il est des vertiges qui sont Le Chant Éternel de notre Réalité.
Il est des gestes qui sont notre perpétuelle Éloquence.
Il est des enlacements qui sont notre innocente aspiration.
Il est des contractions qui sont les douleurs de notre séparation.
Il est des Appels qui sont les soupirs de nos alanguissements.
Il est des crucialités qui sont notre incandescente souffrance.
Il est des attentes qui deviennent nos âmes éplorées.
Il est des étourdissements qui sont nos souffles béatifiés.
Il est des sourires qui voilent l'aspérité de notre cheminement.
Il est des mots qui sont les secrets de notre subtilité.
Il est des êtres qui ne savent se quitter sans être à mourir.
Il est des vérités qui ne sont pas toujours à se dire.
Il est des exaltations qui sont Le Pur Discours.
Il est des alchimies qui sont à polir les cœurs jusqu'à l'usure.
Il est des vagues qui deviennent les ondes des sphères célestes.
Il est des yeux qui deviennent les océans sans rivage.
Il est des délicatesses qui sont les ailes d'un papillon enivré.
C'est là et toujours que je suis à Te trouver.
En ce Secret Jardin que j'ai ouvert d'une Large Main.
J'ai couru alors que tu marchais.
Je volais par dessus Le Lac de nos Complétudes.
Ce Jardin, pour Toi, je L'ai créé et je T'y ai invité.
J'ai déposé à Tes pieds mon cœur écorché.
J'ai ployé les genoux et je T'ai embrassé.
Océan sans rivage
Il est des profondeurs à jamais unifiées à L'Être.
Il est des Hiérarchies qui sont à magnifier L'Instant.
Il est des larmes qui sont l'océan de notre Amour.
Il est des regards qui sont l'effusion de notre Silence.
Il est des vertiges qui sont Le Chant Éternel de notre Réalité.
Il est des gestes qui sont notre perpétuelle Éloquence.
Il est des enlacements qui sont notre innocente aspiration.
Il est des contractions qui sont les douleurs de notre séparation.
Il est des Appels qui sont les soupirs de nos alanguissements.
Il est des crucialités qui sont notre incandescente souffrance.
Il est des attentes qui deviennent nos âmes éplorées.
Il est des étourdissements qui sont nos souffles béatifiés.
Il est des sourires qui voilent l'aspérité de notre cheminement.
Il est des mots qui sont les secrets de notre subtilité.
Il est des êtres qui ne savent se quitter sans être à mourir.
Il est des vérités qui ne sont pas toujours à se dire.
Il est des exaltations qui sont Le Pur Discours.
Il est des alchimies qui sont à polir les cœurs jusqu'à l'usure.
Il est des vagues qui deviennent les ondes des sphères célestes.
Il est des yeux qui deviennent les océans sans rivage.
Il est des délicatesses qui sont les ailes d'un papillon enivré.
C'est là et toujours que je suis à Te trouver.
En ce Secret Jardin que j'ai ouvert d'une Large Main.
J'ai couru alors que tu marchais.
Je volais par dessus Le Lac de nos Complétudes.
Ce Jardin, pour Toi, je L'ai créé et je T'y ai invité.
J'ai déposé à Tes pieds mon cœur écorché.
J'ai ployé les genoux et je T'ai embrassé.
Océan sans rivage
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire