Le Beausset (Var, Provence-Alpes-Côte-D'azur)
D'azur, à une sainte Vierge d'or, soutenue d'un croissant d'argent,
et la tête entourée de sept étoiles du même.
Ce par quoi tout est Grâce est aussi un Flambeau.
Que sait-on de L'Âme et du noble Voyage ?
Il est à lui seul l'expectative d'une question,
Celle qui vient depuis le fin fond des âges,
Lors que L'Appel est solennel, et se veut acclamation.
Ce sont les Chants de L'Âme qui sont aussi de douloureux ruisseaux,
Lors que Les lamentations de La Conscience sont une sombre prison.
En ce Temple vénérable, il est une Lumière qui est Son Oraison.
Par les Vallées qui sont des réalités fluviales,
Et que La raison ne peut embrasser de sa limitation.
Noble Réalité qui est La Permanence Royale,
Serais-tu éteinte lors que les souffles sont à s'épuiser ?
Le Vivant est-il seulement cette approche horizontale,
Lors que les Temps et les distances s'effacent en L'Unicité ?
Que sont ces ignorances qui se creusent en la dualité magistrale,
Et que les pas des écorchés sont encore bafoués par les insouciants ?
Qu'ont-ils à ne pas s'élancer vers les rives de L'Êtreté ?
Ont-ils à ce point négligé de chercher Ta Munificence ?
Noble Réalité de La Sainteté et Grâce de L'Amant !
En Toi, Dame de la Seule Présence qui est en nous,
Te relègue-t-on à l'idolâtrie qui est simulacre d'Amour ?
Ma Lumineuse et immaculée Enfant du secret Temple,
En ce sanctuaire, Tu es Ta Visitation, et le Gardien jaloux,
Chasse tous les intrus qui font ce sacrilège de l'aveugle parcours.
Le bruissement de ta suave solitude qui se veut prière flottante,
Sur l'ensemble de l'humanité, lors que ton cœur semble déchiré,
Des férocités de l'ignorance et de l'oubli avéré.
Ma Fleur Révérencielle, lors que tes petits pas sont légèreté,
Les soies de Ta Présence épouse les nuits de Ta Veillée.
Que n'a-t-on vu l’Épée que tu as brandie pour trancher
Les troubles devant Le Miracle de Ta Pleine Sacralité ?
Ma Rose de L'Incandescent Amour que l'on a négligé,
Tu es Celle qui virginise toutes les âmes esseulées.
Mon Lac et ma Lune Argentée, Aurorale Beauté,
Pureté des Terres et des Cieux de La Toute Majesté,
Que sait-on aujourd'hui du Berceau que L'Esprit a enfanté ?
Que sait-on de Tes sublimes pas en ce Chemin de La Conscience ?
Ce sont Tes Parures qui vêtent les gueux et les va-nu-pieds.
Les Vagues de Ta Généreuse Luminescence sont La Gloire de L'Omniscience.
Corps et Esprit pour ceux qui ont été nimbés de L'Effluve de Ta Réalité.
Océan sans rivage
Peinture de James Tissot (1836-1902)
D'azur, à une sainte Vierge d'or, soutenue d'un croissant d'argent,
et la tête entourée de sept étoiles du même.
Ce par quoi tout est Grâce est aussi un Flambeau.
Que sait-on de L'Âme et du noble Voyage ?
Il est à lui seul l'expectative d'une question,
Celle qui vient depuis le fin fond des âges,
Lors que L'Appel est solennel, et se veut acclamation.
Ce sont les Chants de L'Âme qui sont aussi de douloureux ruisseaux,
Lors que Les lamentations de La Conscience sont une sombre prison.
En ce Temple vénérable, il est une Lumière qui est Son Oraison.
Par les Vallées qui sont des réalités fluviales,
Et que La raison ne peut embrasser de sa limitation.
Noble Réalité qui est La Permanence Royale,
Serais-tu éteinte lors que les souffles sont à s'épuiser ?
Le Vivant est-il seulement cette approche horizontale,
Lors que les Temps et les distances s'effacent en L'Unicité ?
Que sont ces ignorances qui se creusent en la dualité magistrale,
Et que les pas des écorchés sont encore bafoués par les insouciants ?
Qu'ont-ils à ne pas s'élancer vers les rives de L'Êtreté ?
Ont-ils à ce point négligé de chercher Ta Munificence ?
Noble Réalité de La Sainteté et Grâce de L'Amant !
En Toi, Dame de la Seule Présence qui est en nous,
Te relègue-t-on à l'idolâtrie qui est simulacre d'Amour ?
Ma Lumineuse et immaculée Enfant du secret Temple,
En ce sanctuaire, Tu es Ta Visitation, et le Gardien jaloux,
Chasse tous les intrus qui font ce sacrilège de l'aveugle parcours.
Le bruissement de ta suave solitude qui se veut prière flottante,
Sur l'ensemble de l'humanité, lors que ton cœur semble déchiré,
Des férocités de l'ignorance et de l'oubli avéré.
Ma Fleur Révérencielle, lors que tes petits pas sont légèreté,
Les soies de Ta Présence épouse les nuits de Ta Veillée.
Que n'a-t-on vu l’Épée que tu as brandie pour trancher
Les troubles devant Le Miracle de Ta Pleine Sacralité ?
Ma Rose de L'Incandescent Amour que l'on a négligé,
Tu es Celle qui virginise toutes les âmes esseulées.
Mon Lac et ma Lune Argentée, Aurorale Beauté,
Pureté des Terres et des Cieux de La Toute Majesté,
Que sait-on aujourd'hui du Berceau que L'Esprit a enfanté ?
Que sait-on de Tes sublimes pas en ce Chemin de La Conscience ?
Ce sont Tes Parures qui vêtent les gueux et les va-nu-pieds.
Les Vagues de Ta Généreuse Luminescence sont La Gloire de L'Omniscience.
Corps et Esprit pour ceux qui ont été nimbés de L'Effluve de Ta Réalité.
Océan sans rivage
Peinture de James Tissot (1836-1902)
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