Blason d'Aubazines (Corrèze)
Parti, au premier de gueules au soleil d'or soutenu de deux étoiles de même mises en pal,
au second d'azur à la lune d'argent soutenue de deux étoiles de même mises en pal.
TU es, là, inséparable, Éternel dans l’Éloge.
Aspirant, Ô Désirant, Attraction contemplée.
Dialogue incessant Ô TOI Seule Possibilité !
Celui qui T’a connu vit au temps de la Suprême Horloge.
Ayant gravi chaque échelon, la montagne devient Présence.
Gratitude et Amour en ce flot incessant.
Joie en cet appel irradiant.
Joie en la réponse qui succède à l’Excellence .
Peu importe ce qui est autour, simple décor.
Peu importe ce qui fait obstacle à cet essor.
TU es Celui qui appelle en cette nuit et la Lumière est Ton Soleil.
Chaque jour est une force qui n’est pas celui du voyageur.
Chaque jour est Souffle accru dans le Sanctuaire du pur Bonheur.
Quand l’obstacle est identifié, il devient Eveil.
Amour, Amour, en ces mains coule la constance
Nul ne peut assécher cette abondance
Car IL est Celui qui descend auprès de son Ami.
Captif d’une liberté sans Nom,
Résorbé en ce digne Pardon,
Centré en cette aspiration, Unique Vie,
Le voyageur a rencontré Joseph, Visage de Lune accomplie,
Splendeur en cette Luminescence de la nuit.
Descendu dans le puits de la séparation,
Connaît solitude, affliction, puis Union.
Enfant de la Conscience éthérée.
Amour, Amour, que Zouleikha clama à Son Bien-Aimé
S’élevant au Ciel de la Quintessence
L’offrande devint Cristal de la Réminiscence
Ciels de Vénus et Mercure réunis
TU sièges en chaque étape, mon Ami.
Rencontre embrasée par les mains jointes jusqu’au sommet
Joseph de mon cœur, je pleure et chante, Ton Souvenir délicat.
Joseph des prières de l’Aube, en cette prison, Mon Bien-Aimé,
Zouleikha s’abandonne dans la tourmente qui est Joie.
Joseph de mon âme, récit inoubliable des Voyageurs de l’Histoire
Ne crains plus la douleur, ni aucun déboire.
Réunis, perfection du chemin de Vie.
Onze étoiles, Soleil et Lune te rendent Hommage au bout du Récit.
Parti, au premier de gueules au soleil d'or soutenu de deux étoiles de même mises en pal,
au second d'azur à la lune d'argent soutenue de deux étoiles de même mises en pal.
TU es, là, inséparable, Éternel dans l’Éloge.
Aspirant, Ô Désirant, Attraction contemplée.
Dialogue incessant Ô TOI Seule Possibilité !
Celui qui T’a connu vit au temps de la Suprême Horloge.
Ayant gravi chaque échelon, la montagne devient Présence.
Gratitude et Amour en ce flot incessant.
Joie en cet appel irradiant.
Joie en la réponse qui succède à l’Excellence .
Peu importe ce qui est autour, simple décor.
Peu importe ce qui fait obstacle à cet essor.
TU es Celui qui appelle en cette nuit et la Lumière est Ton Soleil.
Chaque jour est une force qui n’est pas celui du voyageur.
Chaque jour est Souffle accru dans le Sanctuaire du pur Bonheur.
Quand l’obstacle est identifié, il devient Eveil.
Amour, Amour, en ces mains coule la constance
Nul ne peut assécher cette abondance
Car IL est Celui qui descend auprès de son Ami.
Captif d’une liberté sans Nom,
Résorbé en ce digne Pardon,
Centré en cette aspiration, Unique Vie,
Le voyageur a rencontré Joseph, Visage de Lune accomplie,
Splendeur en cette Luminescence de la nuit.
Descendu dans le puits de la séparation,
Connaît solitude, affliction, puis Union.
Enfant de la Conscience éthérée.
Amour, Amour, que Zouleikha clama à Son Bien-Aimé
S’élevant au Ciel de la Quintessence
L’offrande devint Cristal de la Réminiscence
Ciels de Vénus et Mercure réunis
TU sièges en chaque étape, mon Ami.
Rencontre embrasée par les mains jointes jusqu’au sommet
Joseph de mon cœur, je pleure et chante, Ton Souvenir délicat.
Joseph des prières de l’Aube, en cette prison, Mon Bien-Aimé,
Zouleikha s’abandonne dans la tourmente qui est Joie.
Joseph de mon âme, récit inoubliable des Voyageurs de l’Histoire
Ne crains plus la douleur, ni aucun déboire.
Réunis, perfection du chemin de Vie.
Onze étoiles, Soleil et Lune te rendent Hommage au bout du Récit.
Océan sans rivage
Joseph et la femme de Putiphar de Guido Reni (1575-1642)
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