Je Te désire en Ton Désir
Qui se veut se savourer
Ne Te quitte en aucun instant
Un moment perdu, je suis à mourir
En ces fleuves qui sont Ta Bonté
Ce qui s'efface en L'effacement
Se pressent sans même se pressentir
En cette Absence est Ta Présence
Arborescence de L'Echo des soupirs
Lors que chaque souffle est Ta Semence
S'y recueillir sans jamais s'y suffire
Ton Regard pré-éternel est mon souvenir
J'y suis incessamment à m'étourdir
Des Réjouissances, et des Éblouissances
Se consument tous les désirs, en cet Expir
Sublimation qui s'unit à la Toute Irradiance
Au cœur de tous les instants est Ce Trésor
Un Joyau, dont l’Écrin est fragilité du Corps
Mes vagues sont Tes vagues, puissé-je y mourir
Car Ton Souffle en mon souffle est Ton Respir.
Océan sans rivage
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