Bénédictines de l'Immaculée conception de Notre-Dame de Cosne (Nivernais, Bourgogne)
D'azur, à une sainte Vierge soutenue d'un croissant, le tout d'argent.
Douceur en ces paroles pures
Lors que l'Enfant marche d'un pas ferme,
Lors que Sa Lumière court comme l'ondoiement
Des éternelles aspirations du Cœur Aimant.
Il est en un Lieu encore secret, le délicat Germe
D'un Monde Nouveau en une savante Lecture.
C'est alors que le fin voile des mille étoiles
En Son Accord Virginal, devient L'Ultime
Soubresaut, en ce sanglot que recueille Le Souffle Royal,
Les vagues que sont les discours subliminaux des cimes !
Humble est cette marche devant Le Temple Atemporel.
Les révérences deviennent incandescentes exaltations.
En ces Azurées soyeuses, vois comme est intense Sa Présence.
Est-il un autre Toi, lors que s'avance toute cette Assemblée ?
C'est Le Cantique et mille tremblantes oraisons,
Qui se veulent ici se magnifier à La Gloire de Ta Majesté.
C'est La Louange ascensionnelle qui révèle Les Beautés de Ton Excellence.
Noblesse et immaculée Enfant de notre Âme Universelle,
Te voici au seuil de l'élévation, lors que ton cœur s'illumine,
Des nouvelles que toi seul pressent, et qui sont nos soupirs,
Lors que ces marches sont les étapes du seul Voyage que l'on devine.
Noblesse et Vénération en ce Projet Divin, en ce pur désir.
Est-il un autre en ce moment qui se veut l’Éternité ?
Qu'a-t-on saisi de cette Vérité qui est Le Sentier de La Conscience ?
Est-il encore dualité ou Langage qui se devient La Seule Réalité ?
Que cherche-t-on encore, lors que les distances sont pliées,
Et que L'Amour est en Son Sommet, Lumière devenue Connaissance ?
Océan sans rivage
D'azur, à une sainte Vierge soutenue d'un croissant, le tout d'argent.
Douceur en ces paroles pures
Lors que l'Enfant marche d'un pas ferme,
Lors que Sa Lumière court comme l'ondoiement
Des éternelles aspirations du Cœur Aimant.
Il est en un Lieu encore secret, le délicat Germe
D'un Monde Nouveau en une savante Lecture.
C'est alors que le fin voile des mille étoiles
En Son Accord Virginal, devient L'Ultime
Soubresaut, en ce sanglot que recueille Le Souffle Royal,
Les vagues que sont les discours subliminaux des cimes !
Humble est cette marche devant Le Temple Atemporel.
Les révérences deviennent incandescentes exaltations.
En ces Azurées soyeuses, vois comme est intense Sa Présence.
Est-il un autre Toi, lors que s'avance toute cette Assemblée ?
C'est Le Cantique et mille tremblantes oraisons,
Qui se veulent ici se magnifier à La Gloire de Ta Majesté.
C'est La Louange ascensionnelle qui révèle Les Beautés de Ton Excellence.
Noblesse et immaculée Enfant de notre Âme Universelle,
Te voici au seuil de l'élévation, lors que ton cœur s'illumine,
Des nouvelles que toi seul pressent, et qui sont nos soupirs,
Lors que ces marches sont les étapes du seul Voyage que l'on devine.
Noblesse et Vénération en ce Projet Divin, en ce pur désir.
Est-il un autre en ce moment qui se veut l’Éternité ?
Qu'a-t-on saisi de cette Vérité qui est Le Sentier de La Conscience ?
Est-il encore dualité ou Langage qui se devient La Seule Réalité ?
Que cherche-t-on encore, lors que les distances sont pliées,
Et que L'Amour est en Son Sommet, Lumière devenue Connaissance ?
Océan sans rivage
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