D’azur au pal d’or.
Souffle cette brise en ce tréfonds.
M'envole sur La monture de L'Esprit.
Ma vie en ce murmure, parfois si fort,
S'élargit des vallées traversées en Toi.
Ma vie, unifiée en ce sein qui T'aspire
Miracle intensifié, Ô ma soif qui se respire
A pleins poumons, Ô ma source inépuisable !
Qui me porte ainsi sur Tes cimes, ivre.
Quelle est donc cette échappée qui me ravit ?
Ô ma brise, qui brise mes résistances
Viens, cet air sent si bon, j'ai tout laissé pour Toi.
Ne le regrette pas, ne le regrette pas.
Ma vie, saisie en cet insaisissable sans fin.
Qui m'étreint que j'étreins ainsi en ma faim ?
Océan sans rivage
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