D'azur au pal d'or chargé d'une fourmi de sable.
Il est une fourmi qui s'est affolée.
J'ai suivi son Périple en m'accrochant à ses pas furtifs.
La finesse de sa danse sur les dunes sacrées,
A fait de moi sa compagne inlassable, en cet appel fugitif.
Ce sont des palpitations d'Amour devant sa fragilité,
Mais aussi des larmes qui se voudraient de délicats baisers.
Des heures entières à te poursuivre, et des heures à T'aimer.
Sur Le Sentier que je ne voudrais jamais quitter.
Ô Fourmi qui ravit cette âme des ondes de Ton efficacité !
N'aie crainte, je suis à retrouver les pas fugaces,
Je suis aussi à danser en la douceur que tu a su cacher,
Lors que mille tâches sont à t'envelopper de mille grâces.
J'ai vu ta noble complicité et ta fougueuse témérité.
C'est en cette hébétude que je me trouve, sans pouvoir bouger.
En cette Rive de L'Autre Monde, tout est à parler.
C'est aussi la fourmi qui te répond et te veut te dire :
Rien n'est en cette Vie qui n'est Vie qui se clame.
Il est cette saveur Automnale qui encore soupire,
Toutes les exhalaisons d'un labeur qui se réclame,
Des Amours de L'origine, en L'Aspiration Éternelle.
Lors, L'Instant est cet accueil ultime et fraternel.
Océan sans rivage
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