Taillé : au premier d’or aux trois bandes d’azur, au second aussi d’azur
semé de fleurs de lys d’or ; à la barre d’argent brochant sur la partition.
J'étais en Son Ultime Ciel, baignée de Lumière
Que dis-je, lumière et lumière en ce Mystère
Des chants étincelants d'Amour étreignant
En L'Innocence des vagues d'étonnement
De doux ravissements, du Lien mémorable
Mes yeux amoureux, rivés en Sa Glorieuse Beauté
Cela durait sans durée, un fusionnement ineffable
Quand IL m'annonça une descente, Ô mon Bien-Aimé
Le suppliai-je, gardez-moi en Votre Proximité
Comme Il m'est intolérable de Vous quitter
N'aie crainte, C'est Moi qui de toi m'occuperais
Alors, je courbai la tête et le laissai ainsi faire
De deux voiles de Lumière, Il me tint éloignée
J'en pleurais, et j'en pleurais, grand est mon désir
De revenir en Ce qui a tout commencé, en Son Amour
Et depuis des milliers d'années, je vis en ce Seul Souvenir
Le retrouver, et L'aimer, et L'aimer, et vivre Son Amour.
Océan sans rivage
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