D'or au chêne parti de sinople et de sable.
A Toi tous les Noms, ceux que l’on connaît
Et ceux que l’on ne connaît pas, Ton Secret
Jaillissement d’une Conscience qui s’exclame
Quand le pas léger effleure le sentier de Grâce
Les yeux se posent, sur les voiles, et l’Âme
Étreinte, voit chaque chose à sa place
Le vent, l’oiseau, les fleurs, les ruisseaux
Déploiement dans la lenteur d’un Chant inconnu
Puisée dans l’océan, une perle rappelle l’Echo
En ce cœur dilaté, te souviens-tu?
Comment sous Ton Regard, tout est né?
Ceci est l’Arbre de la Majesté, l’Esprit Altier
Par lequel nous pouvons voyager, pliant les distances
Tantôt Ailes, tantôt branches Célestes
Frôlement d’une délicate Incandescence
Sous une voûte qui attend la douceur des gestes
Pour chaque arrêt, un monde naît sous tes pieds
De l’Origine, je suis affamée, La Poésie du Bien-Aimé.
Naïla