Blason de Coswig (Saxe-Anhalt, Allemagne)
Tant de propos réducteurs
Tant d’insignifiances
De chemins circulaires
Devenus inutiles errances
Tant de futilités en ces bruits
De gestes anéantis
Je le sais, je le sais
Tant de séparations
De solitudes avérées
De fracassantes désunions
En ces distractions
Tant d’insipides volontés
De pensées fourmillantes
Lors que le regard est opacité
Long est le chemin
Long ce retour en La Clairvoyance
Longue la transformation Consciente
Les paroles qui sont Sagesse du Monde
Lors que Le Temps épouse chaque seconde
Je le sais, je le sais
En ce corps visible est un autre corps
Un espace
Tel un écrin
Ecoute-bien
En lui un chemin
Mille mondes en Un
Des méandres
Et aussi une ligne Droite
Un Ciel qui en contient d’autres encore
Une infinité de consciences
Lors que chacune est à se rencontrer
Un Périple Secret
Lors que le visible se dissipe et donne à L’invisible, accès
Je le sais, je le sais
Il n’est pas vain de rappeler
La Merveille d’un Écrin oublié
Résonance puissante
En as-tu perçu quelques échos
En ton Âme vagabonde ?
Les chants de ce qui se cache
Font en cette ombre du visible
Pressentir encore cette délicate approche
D’avoir pleuré tout ce temps
Et soudain, voir jaillir cet Ailleurs
Une cité intérieure
Des combats et des victoires
Des feux et des mers pacifiées
Les flammes de La Présence
Les souffrances de L’oubli
Je le sais, je le sais
Jusqu’au seuil d’un Palais
Le seuil d’une Paix Lumineuse
Florissante ville Céleste
Lors que les ruisseaux dansent
Et que les yeux plongent
En L’Océan du Tout Possible
Celui que L’on rencontre
Ô Celui à qui L’on fait Louange
Les Étendards de Sa Majesté
Flottent en cette Irradiance
Quelle sorte de Divinité as-tu dressé
En cet éloignement qui est ton ignorance ?
Quelle sorte de Déité
Est ainsi ton seul reflet ?
Lointaine icône que tu es à adorer
Quelle est donc ce mensonge
Obstruant La Conscience ?
Longue est La Route
Que se fende La Lune de Ton Êtreté !
Que surgissent les fusions de La Réalité !
Lors que tes bras enveloppent
Les Effluves d’une Floraison Mystique
C’est en cette Béance que débute Le Voyage
La Conquête des étoiles
Le Noble Chemin
Vois comme s’effeuillent Les Vagues de L’Ombre
Vois comme se soulèvent les flots de Lumière
Les tempêtes célestes sur des montures décidées
Sont à poursuivre les méandres de ton être
L’Alchimie d’un espace occulté
Je le sais, je le sais
Toute la magie d’un paysage
En ce palpable Voyage
Les yeux en sont témoins
Ô Vents, j’invoque votre aide
Séparez-donc le vrai du faux
Que Cette Vérité Profonde
Soit La Vision de La Seule Essence
Ô Réalité Transparente
Ô Cascade de Délivrance !
Tant d’insignifiances
De chemins circulaires
Devenus inutiles errances
Tant de futilités en ces bruits
De gestes anéantis
Je le sais, je le sais
Tant de séparations
De solitudes avérées
De fracassantes désunions
En ces distractions
Tant d’insipides volontés
De pensées fourmillantes
Lors que le regard est opacité
Long est le chemin
Long ce retour en La Clairvoyance
Longue la transformation Consciente
Les paroles qui sont Sagesse du Monde
Lors que Le Temps épouse chaque seconde
Je le sais, je le sais
En ce corps visible est un autre corps
Un espace
Tel un écrin
Ecoute-bien
En lui un chemin
Mille mondes en Un
Des méandres
Et aussi une ligne Droite
Un Ciel qui en contient d’autres encore
Une infinité de consciences
Lors que chacune est à se rencontrer
Un Périple Secret
Lors que le visible se dissipe et donne à L’invisible, accès
Je le sais, je le sais
Il n’est pas vain de rappeler
La Merveille d’un Écrin oublié
Résonance puissante
En as-tu perçu quelques échos
En ton Âme vagabonde ?
Les chants de ce qui se cache
Font en cette ombre du visible
Pressentir encore cette délicate approche
D’avoir pleuré tout ce temps
Et soudain, voir jaillir cet Ailleurs
Une cité intérieure
Des combats et des victoires
Des feux et des mers pacifiées
Les flammes de La Présence
Les souffrances de L’oubli
Je le sais, je le sais
Jusqu’au seuil d’un Palais
Le seuil d’une Paix Lumineuse
Florissante ville Céleste
Lors que les ruisseaux dansent
Et que les yeux plongent
En L’Océan du Tout Possible
Celui que L’on rencontre
Ô Celui à qui L’on fait Louange
Les Étendards de Sa Majesté
Flottent en cette Irradiance
Quelle sorte de Divinité as-tu dressé
En cet éloignement qui est ton ignorance ?
Quelle sorte de Déité
Est ainsi ton seul reflet ?
Lointaine icône que tu es à adorer
Quelle est donc ce mensonge
Obstruant La Conscience ?
Longue est La Route
Que se fende La Lune de Ton Êtreté !
Que surgissent les fusions de La Réalité !
Lors que tes bras enveloppent
Les Effluves d’une Floraison Mystique
C’est en cette Béance que débute Le Voyage
La Conquête des étoiles
Le Noble Chemin
Vois comme s’effeuillent Les Vagues de L’Ombre
Vois comme se soulèvent les flots de Lumière
Les tempêtes célestes sur des montures décidées
Sont à poursuivre les méandres de ton être
L’Alchimie d’un espace occulté
Je le sais, je le sais
Toute la magie d’un paysage
En ce palpable Voyage
Les yeux en sont témoins
Ô Vents, j’invoque votre aide
Séparez-donc le vrai du faux
Que Cette Vérité Profonde
Soit La Vision de La Seule Essence
Ô Réalité Transparente
Ô Cascade de Délivrance !
Océan sans rivage
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