Composition de l'auteur
Au poulailler du comte, il est maître d’école ;
Il instruit dans la Loi les poussins innocents,
Il leur apprend aussi à compter jusqu’à cent
Et à ne point nourrir une espérance folle.
Il leur dit le danger de l’épervier qui vole,
Aussi, que le goupil est un danger constant,
Que l’hirondelle au ciel ne fait pas le printemps,
Que sans doute leur vie est un songe frivole.
Leur père les instruit, le comte les nourrit,
Dès le lever du jour, leur mère leur sourit,
Tel est l’heureux destin de la troupe emplumée.
Ils posent des questions quand ils ont mal compris,
Car d’un noble savoir les poussins sont épris :
Leur cœur est en ce monde une lampe allumée.
Cochonfucius
Il leur apprend aussi à compter jusqu’à cent
Et à ne point nourrir une espérance folle.
Il leur dit le danger de l’épervier qui vole,
Aussi, que le goupil est un danger constant,
Que l’hirondelle au ciel ne fait pas le printemps,
Que sans doute leur vie est un songe frivole.
Leur père les instruit, le comte les nourrit,
Dès le lever du jour, leur mère leur sourit,
Tel est l’heureux destin de la troupe emplumée.
Ils posent des questions quand ils ont mal compris,
Car d’un noble savoir les poussins sont épris :
Leur cœur est en ce monde une lampe allumée.
Cochonfucius
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