Quand l’aube fut rougeoyante, l’étoile s’effondra
Sur un lac, mais alors tu vins ; de tes mains pures
Tu la tiras des tréfonds et la ramenas.
Barde, je fus saisie par son éclatante parure.
Barde, auprès de toi, j’ai vu le fond des eaux-vives,
Les cascades qui s’échappent d’entre les vieux rochers.
J’ai vu ta droiture et la nuit allusive :
Ton grand silence est semblable à un livre caché.
Tu m’as tirée de ma somnolence. J’ai dansé.
Qu’importe ! Ainsi je suis avec pleine démesure
Le chemin, celui de ceux qui ont tout quitté !
Je t’ai suivi sans rien dire, sans même me plaindre,
Jusqu’à ce que nous parvenions au fameux mur,
Ébrasure comme le secret sait empreindre.
Océan sans rivage
Tu la tiras des tréfonds et la ramenas.
Barde, je fus saisie par son éclatante parure.
Barde, auprès de toi, j’ai vu le fond des eaux-vives,
Les cascades qui s’échappent d’entre les vieux rochers.
J’ai vu ta droiture et la nuit allusive :
Ton grand silence est semblable à un livre caché.
Tu m’as tirée de ma somnolence. J’ai dansé.
Qu’importe ! Ainsi je suis avec pleine démesure
Le chemin, celui de ceux qui ont tout quitté !
Je t’ai suivi sans rien dire, sans même me plaindre,
Jusqu’à ce que nous parvenions au fameux mur,
Ébrasure comme le secret sait empreindre.
Océan sans rivage
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