Blason de Bluszczów (Pologne)
J’ai lavé le lierre puis j’ai contemplé ses mains
Comme un moment d’indolence, à l’hiver qui se balance,
J’ai cueilli des reflets de lumière son essence.
Le lutin, de ses yeux, m’a offert un festin.
J’ai pensé : désormais, qu’importe ce qui se passe !
Tout en nous est une porte et même vérité,
Et c’est au frissonnement que l’instant pourchasse
Que le monde éveillé éclot de sa Beauté.
Celui qui est à nous sauver est notre Temple.
Ce siècle n’a pu Le détruire, ni Le dévoyer.
La fin est une bouche au Ciel qui tremble
De voir témérité et constance inépuisée.
Comment alors être troublé par la fin d’un cycle,
Qui fait acte de Retour sans faillir à l’incessible ?
Océan sans rivage
Le Chant du Barde
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