Drapeau de Noursoultan (capitale du Kazakhstan)
Indéfectible, si proche,
Quand des années lumières,
Parlent aux vents spacieux,
Les synonymies d’une planète et des cieux,
J’en ressens le frémissement bienheureux.
Alors, il est une singulière nouvelle
Qui me dit : si petit,
L’invisible est le plus apparent.
Je consens à voir le firmament
Déployer ces étranges ailes,
Son Parfum d’étoiles épanché,
L’année semblable à une poussière,
L’horizon, l’intrépide commencement.
Puisque L’Écho a cette réverbération,
Autant laisser le cosmos nous y inviter,
Autant épouser alors Son Silence,
S’abandonner à Sa douce résonance.
Tu dis ces choses, les ai-je préméditées ?
Ô ourlets des feuillets,
Devenus vagues qui ont tout écumé !
Mais surgit Le Sens,
Et l’on reste émerveillé :
Tant de Proximité,
En ce Plérôme scintillant !
Si j’ai levé la main vers Le Ciel
Mon cœur, Toi, Tu l’as emporté.
Le temps fut à nous conter les
similitudes entre l’infime et l’infini. Chaque étoile, chaque planète,
chaque galaxie, chaque nébuleuse, et chaque distance, sont en réalité
les points d’ancrage et les phrases d’une analogie avec le monde d’ici
et l’au-delà. La résonance fut telle que je m’évanouis dans cet
infiniment petit, si minuscule et si grand tout à la fois. Nulle
appréhension si ce n’est par Lui-même. Je vis les groupes, les
parallèles et même les rassemblements. Chaque similitude, chaque
différence est l’infime monde né du Souffle et chacun est une réalité
mouvante. Nous sommes, en ces simultanéités, les mondes et les sens de
chaque réalité manifestée. Comment donnes-Tu autant de Signes qui ne
sont pas encore compris ? Grâce et libéralité !
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