Blason de la ville d'Emleben (Thuringe, Allemagne)
L'on se prendrait à courir musées et expos
Si l'on écoutait chacun, à droite et à gauche,
Sans même parler des invitations à des pots
Qui finissent toujours dans la verbale débauche.
Qu'ai-je à vouloir paraître en ces carnavals
Où l'on ne porte que les frusques d'une boutique
Et mener conversations comme batailles navales,
Quand les vides intérieurs sont l'unique acoustique ?
Je suis bien mieux chez moi, à contempler le ciel
Qu'à tout instant le Peintre Divin enlumine.
Foin des fausses lumières dont aucune ne m'illumine !
Est-ce du lard ou du cochon ? Du miel ou du fiel ?
C'est cela qu'inspire le commerce avec les hommes.
En fin de compte, l'on y est toujours de sa pomme.
Le Spectre à trois faces
L'on se prendrait à courir musées et expos
Si l'on écoutait chacun, à droite et à gauche,
Sans même parler des invitations à des pots
Qui finissent toujours dans la verbale débauche.
Qu'ai-je à vouloir paraître en ces carnavals
Où l'on ne porte que les frusques d'une boutique
Et mener conversations comme batailles navales,
Quand les vides intérieurs sont l'unique acoustique ?
Je suis bien mieux chez moi, à contempler le ciel
Qu'à tout instant le Peintre Divin enlumine.
Foin des fausses lumières dont aucune ne m'illumine !
Est-ce du lard ou du cochon ? Du miel ou du fiel ?
C'est cela qu'inspire le commerce avec les hommes.
En fin de compte, l'on y est toujours de sa pomme.
Le Spectre à trois faces
Chroniques d'un regard
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