Soirées des lueurs lors que les mains chantent les envolées lyriques de la balalaïka et que virevoltent les visages radieux éclairés par les flammes dansantes de la bougie. Chaleur ronronnant au soupir du samovar. Par la petite fenêtre embuée d'une profonde nuit hivernale, les arbres se balancent en leur sommeil des épaisseurs écumeuses et semblent valser des euphories exaltées de Lena. Son petit châle coloré des jardins de l'été enlace son cœur effarouché.
Des cordées musicales en volutes enthousiastes,
Lena, tu t'endors comme distraite des jours épars.
J'ai vu le corbeau passer et des langueurs de ton Destin,
L'oiseau embrasse les nuages des plaines immaculées.
Petite sœur, le vent siffle autour de l'isba esseulée.
Les flocons de tes cils s'accrochent à ton regard émerveillé,
Petite sœur, des bûches d'un bucheron silencieux
Ton cœur s'émeut à tout jamais de ses bienfaits.
Petite sœur, viens te reposer et garde au chaud
Les rêves de l'effervescente Taïga de tes souvenirs.
J'ai vu Lena, les fleurs éclore des Azurs de tes yeux
Tu tiens tendrement le thé fumant de tes deux mains
Que réconfortent les caresses de mama.
J'ai vu ton cœur s'offrir aux myriades d'étoiles
De ton sourire sur les rives du Lac glacé de majesté.
Lena, petite sœur de nos promenades emmitouflées
Des cascades de joie dévalant sur les luges de décembre.
Petit frère, je n'ai jamais quitté nos jeux et tout cet Amour !
Te souviens-tu du capitaine et de son ami Derzou ?
En nous vibrent leurs éternelles forêts !
Les chemins nous appellent, et le feu crépite encore !
- Hé ! mon Capitaine !
- Derzou !
Lena, tu t'endors comme distraite des jours épars.
J'ai vu le corbeau passer et des langueurs de ton Destin,
L'oiseau embrasse les nuages des plaines immaculées.
Petite sœur, le vent siffle autour de l'isba esseulée.
Les flocons de tes cils s'accrochent à ton regard émerveillé,
Petite sœur, des bûches d'un bucheron silencieux
Ton cœur s'émeut à tout jamais de ses bienfaits.
Petite sœur, viens te reposer et garde au chaud
Les rêves de l'effervescente Taïga de tes souvenirs.
J'ai vu Lena, les fleurs éclore des Azurs de tes yeux
Tu tiens tendrement le thé fumant de tes deux mains
Que réconfortent les caresses de mama.
J'ai vu ton cœur s'offrir aux myriades d'étoiles
De ton sourire sur les rives du Lac glacé de majesté.
Lena, petite sœur de nos promenades emmitouflées
Des cascades de joie dévalant sur les luges de décembre.
Petit frère, je n'ai jamais quitté nos jeux et tout cet Amour !
Te souviens-tu du capitaine et de son ami Derzou ?
En nous vibrent leurs éternelles forêts !
Les chemins nous appellent, et le feu crépite encore !
- Hé ! mon Capitaine !
- Derzou !
Océan sans rivage
очень красивый ! спасибо.
RépondreSupprimerTrès beau, merci !
Sofi
спасибо.
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