Blason de Mackenheim (Bas-Rhin, Alsace)
D'or au palmier de sinople accosté de deux fleurs de lys de gueules.
Dans les sables encor chauds de l'ancienne Carthage,
En ce lointain d'un Orient un peu décalé,
L'âme et le cœur, sur le balancier d'un partage,
Se veulent poser le pied sur un chemin dallé.
Les palmiers majestueux ravivent la mémoire
Des peupliers. Et les jardins de Mégara,
Que le temps a consigné dans les vieux grimoires,
Renaissent d'une Rose que l'Histoire jamais n'égara.
La voici intacte de sa corolle dormante.
Ni le temps qui efface, ni de l'homme les tourmentes
Ne l'ont pu faner, ni lui ravir son parfum.
L'âme et le cœur, sur le balancier d'un partage,
Se veulent poser le pied sur un chemin dallé.
Les palmiers majestueux ravivent la mémoire
Des peupliers. Et les jardins de Mégara,
Que le temps a consigné dans les vieux grimoires,
Renaissent d'une Rose que l'Histoire jamais n'égara.
La voici intacte de sa corolle dormante.
Ni le temps qui efface, ni de l'homme les tourmentes
Ne l'ont pu faner, ni lui ravir son parfum.
Les conquérants d'antan sont gisant en leurs tombes
Car le dernier mot appartient à la Colombe.
Le vent balaye la poussière des empires défunts.
Marc
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