Blason de Ségura (Département de l'Ariège)
D'argent à une larme de sable.
Je suis née en cette Larme, extraite d’une Première Nuée
Je suis née dans le Fleuve du Retour, m’y suis abandonnée
L’Origine est mouvement du Souvenir, un flot amoureux
Des tourbillons de vagues, d’écumes, force parfois incontrôlée
Déchaînement d’éléments dans la douceur d’un grand feu
Puissance et Majesté, Exaltation et Bonheur, L’apothéose Aimée
Les flux sont la vie que je goûte dans le Jardin de l’invitation
Des coupes coulent à profusion dans l’abondance généreuse
Encens parfument les pas que foule l’Amante en cette Vison
Chaque toucher en ce monde est une Contemplation heureuse
Des tapis déployés pour les convives, des mets délicats et raffinés
Ce dont on se prive ici, sont des rivières de diamants dans cet Ailleurs
Le Roi m’apprend à entrer dans Son Noble Palais, et timide, j’y vais
La petite fille est émerveillée de tant de Beauté, de grâce, d’honneur
Ceci est donc vrai, ceci est donc vrai, Ô mon Bien-aimé, Ô Bonté
Quand je ferme les yeux à cet ici, Ton monde est la Seule Réalité
Tu as essuyé les larmes amères et dans l’Union, voici la Douce Eau
L’Isthme, une vie pour parvenir à cette rive, Mon Seigneur
Je n’ai pas tendu en vain les mains, Tes mains sont là-haut
Étrangeté de l’Appel qui est Ton Appel, Ceci est Ta Grandeur.
D'argent à une larme de sable.
Je suis née en cette Larme, extraite d’une Première Nuée
Je suis née dans le Fleuve du Retour, m’y suis abandonnée
L’Origine est mouvement du Souvenir, un flot amoureux
Des tourbillons de vagues, d’écumes, force parfois incontrôlée
Déchaînement d’éléments dans la douceur d’un grand feu
Puissance et Majesté, Exaltation et Bonheur, L’apothéose Aimée
Les flux sont la vie que je goûte dans le Jardin de l’invitation
Des coupes coulent à profusion dans l’abondance généreuse
Encens parfument les pas que foule l’Amante en cette Vison
Chaque toucher en ce monde est une Contemplation heureuse
Des tapis déployés pour les convives, des mets délicats et raffinés
Ce dont on se prive ici, sont des rivières de diamants dans cet Ailleurs
Le Roi m’apprend à entrer dans Son Noble Palais, et timide, j’y vais
La petite fille est émerveillée de tant de Beauté, de grâce, d’honneur
Ceci est donc vrai, ceci est donc vrai, Ô mon Bien-aimé, Ô Bonté
Quand je ferme les yeux à cet ici, Ton monde est la Seule Réalité
Tu as essuyé les larmes amères et dans l’Union, voici la Douce Eau
L’Isthme, une vie pour parvenir à cette rive, Mon Seigneur
Je n’ai pas tendu en vain les mains, Tes mains sont là-haut
Étrangeté de l’Appel qui est Ton Appel, Ceci est Ta Grandeur.