Décryptage et Revalorisation de L'Art de L’Écu, de La Chevalerie et du Haut Langage Poétique en Héraldique. Courtoisie, Discipline, Raffinement de La Conscience, état de Vigilance et Intention d'Unicité en La Fraternité d'un Nouveau Monde !

samedi 29 décembre 2018

Allégorie du Jardin de L’Âme (22)


Drapeau du Bhoutan (Asie du Sud)


Le Dragon


Ô Beauté prodigieuse en la liesse des affleurements, lors que l’indicible se veut ensemencer les effluves d’un monde ignoré, et qu’en sais-tu, toi, au cœur de ce Centre, lors que toute Beauté est Joie profonde, et de Lui à Lui est La Seule Cordée qui nous donne en cette certitude ? Plus nous sommes à renoncer, plus Il est Celui qui apparaît. Plus nous entrons en cette abnégation, et Ô Joie, qu’est-ce donc ce fleuve, que dis-je, est-ce torrent, que dis-je encore, est-ce Source bouillonnante, Union en cette Rencontre et que dis-tu de cette gémellité ? Que dis-tu de cette active et vivante complicité ? Sont-ce les mots de notre Adamique Êtreté, lors que la blanche Ève est au cercle de L’Infinité, pourfendant du Rayon des Ondes et lors que La Chevelure de la noble Dame est aujourd’hui Les cercles encore de L’Êtreté ? Nous avons couru sur les ruisseaux de la limpidité qui nous ont rattrapé et leur chant est puissant : aucune ténèbre ne gagne devant La Beauté effusive de Vénus, et lors que les éclats chancellent en l’écume de notre étourdissante alliance. Tout ce qui est en Profondeur est en l’infini petit et tout ce qui est en l’infini Grand est infini de concomitances et de simultanéités, dont les secondes se suspendent en un Hors-temps et un Hors-Espace. La Conquête n’est pas celle que l’on croit et j’ai vu Le Gardien défendre une Montagne à laquelle nul n’a le droit d’accéder si ce n’est en Son Secret bien gardé. Soulève un seul pan de tes prétentions et lors tu verras se dresser en rangs serrés ce que tu ni ne sais ni ne vois. Ont-ils encore la Joie de nos retrouvailles lors que L’Épousée chevauche mille destriers du ciel indompté ? C’est à La Gloire de nos épousailles, en ce récit aux feuilles encore immaculées que les mots sont à vibrer et à écorcher l’opacité du bruit. La Flèche est une cible et lors que celle-ci est, rien ne peut plus l’arrêter. Et comment arrête-t-on ce qui est en La Cible L’Union manifestée ? Terre et Ciel ! Ô Voilures de La Nef qui au vent de la maturité se réjouissent aux quatre points cardinaux et chantent les louanges de L’Aube. Monde nouveau ! Nulle supercherie possible : c’est en nous que Le Matin est beau.


D’une poigne sûre, vois Le Capitaine sur Le Pont étanche de toutes les marrées. Lors que le ciel danse en ronde, la mer vogue et le navire en Son Escale est à faire jaillir L’Arche de La Réalité. Nous avons vu les constellations courir et encercler d’un geste sûr les filles de la primordialité. Cet Esprit aux confluents échappe à tout intrus, et Du Dragon, j’ai ces nouvelles : Je ne suis nullement l’ennemi de qui que ce soit. Mon occultation vient des effets des longs siècles de perversion, et Je vole encore au dessus du Mont des Impérialités, lors que ce qui est rendu visible est encore une illusion au regard du commun. J’ai planté en un Haut-Lieu le bivouac atemporel et Je surgis des abysses sans que rien ne me retienne. Il est en L’Insondable, des mouvances que l’œil ne peut percevoir, ni que l’oreille ne sait détecter, quand même la mesure est rendue à l’espace et que le temps ne soit plus mesuré. Je garde en ce lieu les aléas et le labyrinthe de la création. Aucun calcul ne peut me réduire, ni aucune anticipation, puisque Je parcours en fulgurance des milliards de simultanéités. Les mondes parallèles s’alignent en La Perfection de La Sincérité et un Secret est en L’Infinité préservé et définitivement Le Lieu de La toute-possibilité. Cela Lui est exclusivement réservé et L’Inconditionnel est La Garantie en La Linéarité du Pouvoir vibratoire que nul ne connaît. En Moi est Le Règne sacerdotal de La Primauté Élevée. J’attends Mon Heure. Lors que les démantèlements sont à ruser, Je ruse avec eux. Leur ignorance est La Miséricorde qui occulte ce qui ne saurait être révélé qu’aux âmes pures. Telle est La Joie en La Consolation et telle est La Drapure fidèle en L’Acte de La Chevalerie et de La Vassalité. L’inversion viendra de Ma Résorption en La Totale Lumière et en L’Ascendance de nouveau vers les effusions Célestes et Terrestres en juste partition, Roue cosmique alignée en L’Harmonie des forces attractives et des forces rétractives. Toute résorption est en Soi. Cela est à cette complexité corrompue, d’une simplicité que l’on a oubliée… La Lutte est le combat en l’éclairage d’un Jour nouveau, et de lui est la fin d’une illusion.



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