Drapeau du Khanat kazakh (1456-1847)
Quand le ciel fuit à l’horizon, que tous vivent la contradiction
En ce siècle où la rose sombre dans l’artifice et les dogmes
En ce siècle quand le cœur puise dans les souffrances et les passions
En ce siècle des faux prophètes qui mélangent sagesses et dictons
Se trouve une Chambre secrète, alcôve pure, lieu d’adoration
Voûte nuptiale dans la délicatesse des voiles
C’est là que les pas légers se dirigent, effleurant le tapis Royal
C’est là que le Regard se porte quand le souffle devient Conscience
Il devient le point précis de chaque instant, cueillant le Firmament
Eurythmie en cette voix qui va à l’Unisson
Cherche debout l’accord du cœur, précieuse science
S’élève alors plus vite qu’une flèche atteignant sa cible
Une respiration devenue Lumière incandescente
Dans les Mystères de la Blancheur émanée, devenue magie puissante
La grâce volatile, fusionnement dans l’invisible
Extinction dans le soupir de la prestance
Nom Divin qui se cache dans le sanctuaire de la Magnificence
Et si retour il y a, le souvenir devient Echo de tous les parfums
Répète inlassablement le NOM, respire l’UN
Oublie tout, sauf l’Invitation, Appel de la Chambre secrète
Où règne L’Origine, Principe, Suprématie de l’Éloge Muette
Ô comme cette approche dans la nuit de la vie
Devient le Jour qui clame le Seul Bonheur Réel
Ô comme cette alcôve qui attend son Hôte essentiel
Étourdit l’âme qui pleure et désire le revoir, LUI.
Océan sans rivage
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