Dimanche
Souvent, il est des questions,
Accrochées au rythme du cœur,
Telles des respirations,
Et qui font de la Vie un Bonheur.
Lundi
As-tu vu ce flottement
Délicat et de phrasées légères,
Quand l’abeille, étonnement,
Te visite et devient la messagère ?
As-tu vu ce flottement
Délicat et de phrasées légères,
Quand l’abeille, étonnement,
Te visite et devient la messagère ?
Mardi
Les toits semblent déambuler,
Jusqu’au Jardin ensoleillé.
D’étranges passants sans vie,
Et de nous étonner.
Les toits semblent déambuler,
Jusqu’au Jardin ensoleillé.
D’étranges passants sans vie,
Et de nous étonner.
Mercredi
Le vide sur le lac,
Moment qui balaie le passé.
Puis une âme de converser,
Le cœur s’éprend de simplicité.
Le vide sur le lac,
Moment qui balaie le passé.
Puis une âme de converser,
Le cœur s’éprend de simplicité.
Jeudi
Je ris des imprévus.
Je ris du Silence.
Je ris de Ta Permanence.
Il n’est pas de plus belles réjouissances.
Je ris des imprévus.
Je ris du Silence.
Je ris de Ta Permanence.
Il n’est pas de plus belles réjouissances.
Vendredi
Ce qui part est de nature à partir.
Ce qui reste est de nature à rester.
De nos larmes, qui jaillit donc émerveillé ?
Le vrai s’éveille sans discuter.
Ce qui part est de nature à partir.
Ce qui reste est de nature à rester.
De nos larmes, qui jaillit donc émerveillé ?
Le vrai s’éveille sans discuter.
Samedi
Depuis L’Éden, sous les feuillages,
Évasé, sur les branches du platane,
Quand frémit la faune et que tout s’arrête,
Le Héron, de blancheur, à la cime s’installe.
Océan sans rivage
Depuis L’Éden, sous les feuillages,
Évasé, sur les branches du platane,
Quand frémit la faune et que tout s’arrête,
Le Héron, de blancheur, à la cime s’installe.
Océan sans rivage
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