Blason de Stinstedt (Basse-Saxe, Allemagne)
Pèlerin de mon âme, tiens fermement
Ton Bâton telle une Anse que le cœur
Saisit depuis les profondeurs de ton être
L'Impulsion du Voyage vers La Conscience
Est parsemée des Univers de mille étoiles
Lors que Les Quintessences Crépusculaires
Déclinent inlassablement ton Orientation
Pèlerin de mon âme, rejoins la Cité de L'Amant
Donne-Lui les nouvelles du corps écorché
En la tragédie que réunissent mille et mille trames
En Cet Écrin devenu le couvent de mes soupirs
Emporte ma nostalgie, je suis à L'attendre
Pèlerin de mon âme, La Traversée est longue
En ce Mystère entier, tu es encore à marcher
Depuis les distances que l'on ne saurait mesurer
Parfois, je te vois courir sur les vagues déchaînées
Parfois encore, les ruisseaux s'écoulent à tes pieds
Tu as entendu le Chant des mille Rossignols
Et traversé mille vallées d'où jaillit L'Amour
Parfois, sur une rive, ton cœur a tressauté
Les dunes sont les récifs des voiles de L'Êtreté
Pèlerin de mon âme, es-tu encore en cette mer
Lors que le Soleil est à son Zénith et que s'enflamme
Ton corps esseulé, ton esprit est troublé par L'Inconnu
En ce lointain rivage, je T'ai entendu m'appeler
La Lumière est une Aube lors que toutes les nuits
S'évanouissent en ce Flux qui se veut Aspiration
Lors que je laisse mon regard virginal t'épouser
Je suis là, à chanter les beautés écloses en ce jardin
Des ivresses et des ivresses en cet invisible chemin
Me voici comme l'onde à glisser tels les effluves
Qu'embaume mon cœur alangui par L'Attente
Pèlerin de mon âme, que jamais ne s'épuise
Les pas du marcheur vers La Terre Promise
Tiens fermement ce Bâton devenu Ta Verticale
En ce Centre, il n'est plus aucune mouvance
Tu es à voir resplendir les perpétuelles Créations
L’Élan a Son Origine, et aujourd'hui son flamboiement.
Ton Bâton telle une Anse que le cœur
Saisit depuis les profondeurs de ton être
L'Impulsion du Voyage vers La Conscience
Est parsemée des Univers de mille étoiles
Lors que Les Quintessences Crépusculaires
Déclinent inlassablement ton Orientation
Pèlerin de mon âme, rejoins la Cité de L'Amant
Donne-Lui les nouvelles du corps écorché
En la tragédie que réunissent mille et mille trames
En Cet Écrin devenu le couvent de mes soupirs
Emporte ma nostalgie, je suis à L'attendre
Pèlerin de mon âme, La Traversée est longue
En ce Mystère entier, tu es encore à marcher
Depuis les distances que l'on ne saurait mesurer
Parfois, je te vois courir sur les vagues déchaînées
Parfois encore, les ruisseaux s'écoulent à tes pieds
Tu as entendu le Chant des mille Rossignols
Et traversé mille vallées d'où jaillit L'Amour
Parfois, sur une rive, ton cœur a tressauté
Les dunes sont les récifs des voiles de L'Êtreté
Pèlerin de mon âme, es-tu encore en cette mer
Lors que le Soleil est à son Zénith et que s'enflamme
Ton corps esseulé, ton esprit est troublé par L'Inconnu
En ce lointain rivage, je T'ai entendu m'appeler
La Lumière est une Aube lors que toutes les nuits
S'évanouissent en ce Flux qui se veut Aspiration
Lors que je laisse mon regard virginal t'épouser
Je suis là, à chanter les beautés écloses en ce jardin
Des ivresses et des ivresses en cet invisible chemin
Me voici comme l'onde à glisser tels les effluves
Qu'embaume mon cœur alangui par L'Attente
Pèlerin de mon âme, que jamais ne s'épuise
Les pas du marcheur vers La Terre Promise
Tiens fermement ce Bâton devenu Ta Verticale
En ce Centre, il n'est plus aucune mouvance
Tu es à voir resplendir les perpétuelles Créations
L’Élan a Son Origine, et aujourd'hui son flamboiement.