Blason de Novopolotsk (Biélorussie)
Tantôt de légèreté, au souffle à peine violent de L’Absence et tantôt de Joie jaillissante, en ces fragrances d’été, au sommet vif de notre Rencontre, lors que les valses cotonneuses fusionnent en cette errance, nous allons. Tantôt de menus détails, au frôlement des soyeux touchers d’une brise offerte en Ta Présence, tantôt des soupirs de La Bruyère à nos esquisses, palpables d’étonnement, nous allons. As-tu murmuré ces propos en ce ravissement, lors que les vagues en de majestueux remous sont à danser ? Comme nous avons ri tout en chantant et nous unissant au prodigieux Echo ; et ce sont les montagnes qui font les vagues de L’Océan au Ciel du surgissement. Ce sont les effluves qui aspergent L’Âme du Jardin et si la neige nous taquine de sa caresse lumineuse, le Soleil déverse, irisés, les flots de L’Entendement. La Jacinthe n’est point muette et nous rappelle en la fluvialité résonnante du Jasmin, baume des soirs de douce solitude, lors que le citronnier s’épanche des grâces de L’Humus discret. Déjà, mon cœur voguait, disposé à Te chercher, et c’est en ce Jeu que La Vie rayonne, sans que rien ne puisse la perturber, car L’Immutabilité est notre point de Rencontre, et Là, Tout est à parler d’éloquence de Ta Voix magistrale. Petit homme, L’Amour est incandescence Lumineuse. De finesse en courtoises obédiences, Rose infuse de Tes Révérences, promenades ininterrompues en cet Accueil, et Le Soleil est une invitation en La Lune de tous nos émois. Petit homme, tu me dis : c’est en le Limon des étangs que poussent La Fleur de notre Cœur. Sa vocation est de croître. Plus elle s’élève et plus elle voit. Est-Elle cette Fleur que cherche L’Alchimiste ? demandé-je. Tu me regardes longuement, puis tu me réponds : il n’est d’alchimiste qu’en Le Souffre Rouge et ceci est plus rare encore à découvrir que Le Roi des Cieux.
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