Sans nul doute, des tréfonds communs, lors que tombant,
Du pire, du meilleur, est-ce donc eau marécageuse,
Quand les boues se mélangent aux sueurs peureuses,
Quand les hommes trempent vulgaires dans certains étangs ?
Ultimes combats délétères, putrides jusqu’aux os,
Les mots lâches que l’on n’ose plus plaquer au visage,
Sont-ce femmes, enfants, que l’on jette dans les marécages,
Pour n’avoir pas su être un homme vainquant ses maux ?
Est-ce une mise en scène d’une infâme avant-première,
Lors que de vagues vaines et même s’y aventurant,
L’on brandit ce qui s’évide dans la fourmilière,
Et l’on rugit de colère et de haine, tremblant,
Toujours se chargeant des pires peines maléfiques,
Lors qu’en ce soupir, est née une âme pacifique ?
Océan sans rivage
Du pire, du meilleur, est-ce donc eau marécageuse,
Quand les boues se mélangent aux sueurs peureuses,
Quand les hommes trempent vulgaires dans certains étangs ?
Ultimes combats délétères, putrides jusqu’aux os,
Les mots lâches que l’on n’ose plus plaquer au visage,
Sont-ce femmes, enfants, que l’on jette dans les marécages,
Pour n’avoir pas su être un homme vainquant ses maux ?
Est-ce une mise en scène d’une infâme avant-première,
Lors que de vagues vaines et même s’y aventurant,
L’on brandit ce qui s’évide dans la fourmilière,
Et l’on rugit de colère et de haine, tremblant,
Toujours se chargeant des pires peines maléfiques,
Lors qu’en ce soupir, est née une âme pacifique ?
Océan sans rivage
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