Lors que bouillonnent et crépitent les flammes infernales,
Que les longs cris effarent L’Enfant qui vogue sur L’Eau,
Tandis que Le Cygne le surprend en son sanglot,
La voix résonne douce et apaise l’effroi abyssal.
Ne crains donc rien, ceci est bien l’étroit passage,
Lors qu’en La Veine jugulaire, Le Souffle s’unifie,
Ton cœur reçoit les secousses les plus sauvages,
Âpreté dans les profondes arcanes de ta nuit.
L’Enfant ne pense pas à son état, il en sort.
Je sais, d’aucuns répugnent à connaître La Sagesse,
Mais d’autres, sont sans doute comme aspirés par L’Essor.
Qui sont-ils à rejoindre ce qui les hante sans cesse ?
Sur L’Île verte, un Lieu réservé aux amoureux,
Consigne sur les pages, l’histoire de ces êtres fougueux.
Océan sans rivage
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