La soirée au matin termina en exode,
Chassés par le soleil, et ses rires bruyants
Sur les bords de la Seine où ses reflets brillants
Attisaient nos désirs d’un charnel épisode.
Dans l’aube, encor ravis des plaisirs à la mode
Nos pas légers captaient dans les regards fuyants
Des passants l’attention de leurs pas ennuyants.
Alors qu’ils sommeillaient la nuit t’offrit son ode !
Et mut dans son tumulte aux décors envoûtants
Ta douce silhouette aux charmes déroutants
Qui me fit te poursuivre au-delà de la fête,
Rêverie éphémère où s’écoula l’instant,
Entre nos doigts poreux, d’un souffle inexistant,
Jusqu’au jour qui figea notre extase parfaite.
Chassés par le soleil, et ses rires bruyants
Sur les bords de la Seine où ses reflets brillants
Attisaient nos désirs d’un charnel épisode.
Dans l’aube, encor ravis des plaisirs à la mode
Nos pas légers captaient dans les regards fuyants
Des passants l’attention de leurs pas ennuyants.
Alors qu’ils sommeillaient la nuit t’offrit son ode !
Et mut dans son tumulte aux décors envoûtants
Ta douce silhouette aux charmes déroutants
Qui me fit te poursuivre au-delà de la fête,
Rêverie éphémère où s’écoula l’instant,
Entre nos doigts poreux, d’un souffle inexistant,
Jusqu’au jour qui figea notre extase parfaite.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire