Il me vient en cet instant, au-delà du moi,
De voir d’autres gens réunis en ce Mystère,
Quand du labour incessant, les champs font leurs lois,
Qu’est-ce donc cette magie qui vient de notre Terre ?
Bien que toutes les voix ne cessent d’en faire mention,
J’entends encore la forte clameur qui s’élève,
Et mon cœur se plaît à en faire une ovation,
Car ce Temps éternel est un Printemps qui se révèle.
Longeant un mur de pierre, devinant son trésor,
Que des mains enfouissent, dressant ainsi Le Temple,
Au lointain murmure des subtiles Paroles en Or,
La Lecture est un Livre sacré que je contemple.
Est-il une Vision que je ne fasse en ce Rêve
Qui ne soit un lexique uni au Ciel éthéré ?
Lors que L’Âme s’élève, les mots sont incarnés
Des vibrants mondes et c’est La Conscience sans trêve.
Océan sans rivage
Le Chant du Barde
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