Les toits se cachent de la fauvette,
Musicienne indomptable et secrète
Les murs d’un Jardin t’appellent ;
Jamais rien tu ne rejettes…
Musicienne indomptable et secrète
Les murs d’un Jardin t’appellent ;
Jamais rien tu ne rejettes…
Il n’est aucun sentier connu :
Tous deux s’en vont sous les nues,
Le temps est-il venu,
Aux Amants de veiller ?
Tous deux s’en vont sous les nues,
Le temps est-il venu,
Aux Amants de veiller ?
Il reste au moment de la mort,
Les seuls moments vrais.
D’Alchimique Présence,
Le goût jamais ne s’en défait.
Les seuls moments vrais.
D’Alchimique Présence,
Le goût jamais ne s’en défait.
Au Ciel qui fuit,
La Nef sourit,
D’écume qui la poursuit,
Tel est le sillon.
La Nef sourit,
D’écume qui la poursuit,
Tel est le sillon.
Quand je vous vis,
L’ébauche du sourire fut ma joie,
Et vous de vous incliner sans sursis,
Des rosées de vos pourpres émois.
L’ébauche du sourire fut ma joie,
Et vous de vous incliner sans sursis,
Des rosées de vos pourpres émois.
Ah ! depuis longtemps,
C’est encore ce moment,
Sur les matins ondulants,
Le Ciel s’épanche de notre Regard.
C’est encore ce moment,
Sur les matins ondulants,
Le Ciel s’épanche de notre Regard.
Étais-je jamais plaintive ?
Au firmament les flamants roses,
Du printemps suis captive,
Moissons fauchées, la saison est close.
Au firmament les flamants roses,
Du printemps suis captive,
Moissons fauchées, la saison est close.
Océan sans rivage
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