Blason de Paris sous le IIe République (1848-1853)
Toute chose que tes mains veulent enserrer se change
En fine poussière qui s'écoule dans ton sablier,
Inexorablement, quand même combien étrange
Te semblera cette loi que rien ne peut plier.
Entends, il n'est qu'une chose qui à jamais demeure ;
L'intention de ton âme en son acte d'être.
Et quand sonnera de ta vie la dernière heure,
Elle sera l'unique compagne en tes aîtres.
Vois, l'Océan monte et le ciel verse ses larmes ;
Hissons le regard et peignons nos écus aux armes
Du Roi Venant : de Lumière au Sourire brochant.
Levons l'ancre car le Voyage dans les Étoiles
Continue ; et tandis qu'au vent claquent les voiles,
Monte du ventre de la nef le plus beau chant.
Marc
Voir aussi sur Naissance et connaissance et La profondeur
Toute chose que tes mains veulent enserrer se change
En fine poussière qui s'écoule dans ton sablier,
Inexorablement, quand même combien étrange
Te semblera cette loi que rien ne peut plier.
Entends, il n'est qu'une chose qui à jamais demeure ;
L'intention de ton âme en son acte d'être.
Et quand sonnera de ta vie la dernière heure,
Elle sera l'unique compagne en tes aîtres.
Vois, l'Océan monte et le ciel verse ses larmes ;
Hissons le regard et peignons nos écus aux armes
Du Roi Venant : de Lumière au Sourire brochant.
Levons l'ancre car le Voyage dans les Étoiles
Continue ; et tandis qu'au vent claquent les voiles,
Monte du ventre de la nef le plus beau chant.
Marc
Voir aussi sur Naissance et connaissance et La profondeur
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