(Blason dessiné par O. de Chavagnac pour l’Armorial des As)
D’azur à une poule essorante d’or.
Je ne savais pas qui j'étais en cet instant,
Courbée sous Le Ciel, scrutant l'horizon parfois,
N'avais aucun désir, marchais tout droit devant.
M'étourdissant du vin que me versait un Roi.
Je n'ai pas la rime facile, suis-je gracile ?
Je picore allègrement des grains de L'Indicible,
Et m'oublie, lors que L'Aube s'épanche du soir
Mon trouble chagrin est aussi un heureux espoir
Lors, qu'ai-je encore à t'écouter, coq infatué ?
Au lever du Jour, tout de toi est un bourdon,
Qui se veut à mon oreille toujours bourdonner.
Des sonorités que mon plumage colore,
Certes, le rire se répand jusqu'à ton front.
J'aime pourtant Le Noble Chant de Ton Aurore.
Naïla
Courbée sous Le Ciel, scrutant l'horizon parfois,
N'avais aucun désir, marchais tout droit devant.
M'étourdissant du vin que me versait un Roi.
Je n'ai pas la rime facile, suis-je gracile ?
Je picore allègrement des grains de L'Indicible,
Et m'oublie, lors que L'Aube s'épanche du soir
Mon trouble chagrin est aussi un heureux espoir
Lors, qu'ai-je encore à t'écouter, coq infatué ?
Au lever du Jour, tout de toi est un bourdon,
Qui se veut à mon oreille toujours bourdonner.
Des sonorités que mon plumage colore,
Certes, le rire se répand jusqu'à ton front.
J'aime pourtant Le Noble Chant de Ton Aurore.
Naïla
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