Blason de Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire)
L’Étreinte t’a menée si loin
Ô mon Âme, si près des Royaumes Incantatoires
Les cimes frôlant indéfiniment en cet ondoiement
Les Puretés cristallines de L’Orfèvrerie vibratoire
Lors que les Lys sont en cette danse Témoin
Les vallées Célestes se déploient et font des vagues
En ce parchemin que Le Livre Ouvert offre éternellement
Les épanchements des saveurs de L’Intime Jade
Lors que nulle couleur n’entrave plus Le Coursier
Il est des sommités qui sont plus que Les effluves éthérées
La Voix est à magnifier Celui qui en Son Mystère Éternel
Donne en Son Pur Baiser les quintessences de chaque perle
Un Nacre que La Coupe est à révérer en L’Astre Primordial
Lors que les lèvres de rubis offrent les soupirs de L’Âme
Les Roses sont à chanter les pâleurs aurorales
Et chaque pétale recèle encore d’autres Visions qui se pâment
En La Transparence des radieuses vibrances du Palais Seigneurial
Les Larmes sont devenues une Allée aux pavés de Cristal
Les secousses de tes sanglots sont aujourd’hui l’effusion tremblante
Des ruisseaux qui courent sans jamais cesser et qui encensent La Flamme
De chaque pas qui se voulaient en Ta Gloire, les épanchements de L’Âme mendiante
Lors que mille étoiles sont à sourire des faisceaux de Ta Lumière Oriflamme
L’Oraison est Immaculée Souvenir des Intimes soupirs du fiévreux Calame.
Les cimes frôlant indéfiniment en cet ondoiement
Les Puretés cristallines de L’Orfèvrerie vibratoire
Lors que les Lys sont en cette danse Témoin
Les vallées Célestes se déploient et font des vagues
En ce parchemin que Le Livre Ouvert offre éternellement
Les épanchements des saveurs de L’Intime Jade
Lors que nulle couleur n’entrave plus Le Coursier
Il est des sommités qui sont plus que Les effluves éthérées
La Voix est à magnifier Celui qui en Son Mystère Éternel
Donne en Son Pur Baiser les quintessences de chaque perle
Un Nacre que La Coupe est à révérer en L’Astre Primordial
Lors que les lèvres de rubis offrent les soupirs de L’Âme
Les Roses sont à chanter les pâleurs aurorales
Et chaque pétale recèle encore d’autres Visions qui se pâment
En La Transparence des radieuses vibrances du Palais Seigneurial
Les Larmes sont devenues une Allée aux pavés de Cristal
Les secousses de tes sanglots sont aujourd’hui l’effusion tremblante
Des ruisseaux qui courent sans jamais cesser et qui encensent La Flamme
De chaque pas qui se voulaient en Ta Gloire, les épanchements de L’Âme mendiante
Lors que mille étoiles sont à sourire des faisceaux de Ta Lumière Oriflamme
L’Oraison est Immaculée Souvenir des Intimes soupirs du fiévreux Calame.
Océan sans rivage
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D'argent à un carrefour de cinq voies alésées d'azur, quatre en sautoir et une en pointe, à un rond-point vidé du champ, le tout bordé de sinople orlé d'un filet aussi du champ, accosté de deux rameaux de cormier ployés aussi de sinople fruités de pourpre, soutenu d'une grappe de raisin du même tigée aussi de sinople, au chef soudé d'or chargé de Sainte Apolline en pied de carnation, vêtue d'argent avec un manteau d'azur, tenant en sa senestre une palme de gueules posée en bande, accostée de deux chênes au naturel.
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