Il est un qui marche. Il est venu de loin.
Je l'appelle mon frère, et il sourit à sa sœur.
Nous avons, tel un pont, joint en L'Azur, nos mains
Son Âme vive s'adoucit des secrets du cœur.
Il n'est pas un instant où je tremble du Mystère,
Lors que frémit le vent, je suis à le saluer.
De son regard, j'ai appris les profondeurs éthérées.
Des pas que nous faisons, jaillit La Lumière.
Jamais je n'oublie mon frère, je le connais
Depuis L'Ailleurs de nos retrouvailles, je le sais.
Ce moment que nous savons être L'Origine.
C'est un Parfum si ancien, je me l'imagine,
En cet Alast Divin, Berceau de notre Amour,
Nos yeux versent ces larmes de l'unique Jour !
Océan sans rivage
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