Ô Poète qui pleure les mots solitaires !
Ô Poète qui laboure Le Ciel de suppliques !
Lors que vient Ta Vénus crépusculaire,
Et que se couche L'Astre de Ton Amour pudique !
Je marche en la plaine de Ton Cœur,
Et je pleure du Vent de L'Automne qui s’annonce.
Des feuilles qui s'en murmurent tant de douleur,
Des sourires, aussi, qui ne jamais renoncent.
Ô Poète, Ta Lyre est L’Épopée d'une Vie,
Et les mots vibrent du cœur de Ton entier Amour,
Car du Désir est un véritable Secret.
C'est à genoux que L'Aube pleure Sa Nuit,
Et c'est ce furtif Expir de nos illusoires jours,
Qui devient Le Respir d'Une Seule Rosée.
Océan sans rivage
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