Ce sont de luxuriantes forêts que l'on surprend
A grandes brassées sous une voûte solaire.
Comme se déploient ces longueurs du firmament !
Voici la verte pluie des ondes crépusculaires.
Deux buses valsent dans le ciel et nous font révérence.
Comment oublier ces nues drapées de blancs tracés ?
Là-bas, la vallée te marque sa déférence.
Le coucou chante, le pivert répond tout à côté.
Le merle nous frôle vitement. Vois-tu son nid ?
Plus loin, n'est-ce pas l'invisible alouette qui chante ?
Le geai clame sa présence, quelle drôle de symphonie !
Le sentier, de nos traces devient ce temps qu'enchante
La terre du sillon rougeoyant de nos pensées.
Comment ? L'Esprit se mêle à tant de douces Beautés !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire