Comme les nuages qui par jours de vent caracolent,
Nous remercions les oiseaux d'égayer le ciel.
De leur libre gaîté, nous aimons faire école
Et admirons leurs délicats cérémoniels.
Rien n'est aussi disgracieux que le bruit d'une machine
Qui conjugue la hâte avec la brutalité.
Sous prétexte qu'au travail manuel l'on s'échine,
On en use et abuse en toute normalité.
Jamais le chant de l'oiseau n'offense nos oreilles,
Ni le bourdonnement exalté de l'abeille.
Par aucune bête jamais le silence n'est brisé,
Sinon par le chien dont l'aboiement incommode,
Dès lors qu'il se poursuit sans fin sur le même mode,
Faute d'avoir été par son maître bien dressé.
Marc
Tyrosémiophilie ornithologique Histoires fromagères
Nous remercions les oiseaux d'égayer le ciel.
De leur libre gaîté, nous aimons faire école
Et admirons leurs délicats cérémoniels.
Rien n'est aussi disgracieux que le bruit d'une machine
Qui conjugue la hâte avec la brutalité.
Sous prétexte qu'au travail manuel l'on s'échine,
On en use et abuse en toute normalité.
Jamais le chant de l'oiseau n'offense nos oreilles,
Ni le bourdonnement exalté de l'abeille.
Par aucune bête jamais le silence n'est brisé,
Sinon par le chien dont l'aboiement incommode,
Dès lors qu'il se poursuit sans fin sur le même mode,
Faute d'avoir été par son maître bien dressé.
Marc
Tyrosémiophilie ornithologique Histoires fromagères
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