La Nef fuit au sillon,
D’écume pourfend l’horizon,
Des brumes, cueille les frondaisons,
Mais de Lune, fait un firmament.
D’écume pourfend l’horizon,
Des brumes, cueille les frondaisons,
Mais de Lune, fait un firmament.
Il ne pleurera qu’une fois,
Il ne soufflera qu’une fois,
Il ne rêvera qu’une fois,
Qui, si ce n’est Toi ?
Il ne soufflera qu’une fois,
Il ne rêvera qu’une fois,
Qui, si ce n’est Toi ?
Cette pluie chante une histoire,
Qui l’entend ce soir ?
Sur les gouttelettes de joie,
Ô les vaines paroles qui meurent !
Qui l’entend ce soir ?
Sur les gouttelettes de joie,
Ô les vaines paroles qui meurent !
Champs de maïs au goût d’été
Se penchent,
Bruissement du silence,
Caresse le fruit suinté.
Se penchent,
Bruissement du silence,
Caresse le fruit suinté.
Des frôlements sur les fleurs
Mille encore qui butinent
Et de m’émerveiller : Ton Cœur
Sur le velours rubis des capucines.
Mille encore qui butinent
Et de m’émerveiller : Ton Cœur
Sur le velours rubis des capucines.
Jusqu’aux larmes des mille vents
Jusqu’aux chants des miroitements
Jusqu’aux ailes du bleu de l’océan
Sur la cime d’un arbre, Le Héron.
Jusqu’aux chants des miroitements
Jusqu’aux ailes du bleu de l’océan
Sur la cime d’un arbre, Le Héron.
L’Aube voit naître les mains
Qui de chaque seconde ont faim
Et du moment souverain,
S’étonnent : qui éclot sans fin ?
Qui de chaque seconde ont faim
Et du moment souverain,
S’étonnent : qui éclot sans fin ?
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