Blason de Kneiphof
(ancienne Königsbergs, Prusse Orientale, et actuelle Kaliningrad, Russie)
Qu'en est-il de notre cœur exhalé à ces heures,
Lors que la péninsule de notre âme touche le corps,
Et que chante la sirène ces étranges langueurs,
Aux larmes de son émoi - inestimable trésor ?
Aux abysses de la vie, n'a-t-elle pas tout perdu ?
C'est en son âme surréelle que jouent toutes ces vagues.
Sont-ce les lianes vénusiennes qui l'ont revêtue
De parures océanes, de perles et de bagues ?
La sirène pleure les effluves des douceurs du soir.
Au loin, la lune sourit à l'opale et quelque jade.
Ici, aucun trésor ne réjouit son regard.
Et que chante la sirène ces étranges langueurs,
Aux larmes de son émoi - inestimable trésor ?
Aux abysses de la vie, n'a-t-elle pas tout perdu ?
C'est en son âme surréelle que jouent toutes ces vagues.
Sont-ce les lianes vénusiennes qui l'ont revêtue
De parures océanes, de perles et de bagues ?
La sirène pleure les effluves des douceurs du soir.
Au loin, la lune sourit à l'opale et quelque jade.
Ici, aucun trésor ne réjouit son regard.
Sur le récif, tel un cri : Adieu mon rivage !
Voici que vers les Cieux, ton cœur est tout désir.
Quittons ce lieu qui n'est plus même un souvenir.
Océan sans rivage
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