Blason de Kurtzenhouse (Bas-Rhin, Alsace)
Chaque pas est une réalité de Souffle qui Le rejoint en L’Alpha et L’Oméga. Chaque goutte qui perle est une pointe que le calame aiguise sur la feuille. Il n’est de Réalité qu’en la Reliance conscientisée en acte. Toute pensée s’unifie au corps. Aucune distanciation n’est possible. Aucune hésitation. Aucun bruit ne crée la distraction. Bienheureux celui qui s’arrête et s’assoit à L’Ombre de Ton Trône. Tu ramènes sur lui les feuillages de L’Arbre. Tu l’exiles du monde de l’absence. Tu le ceins de Ta Poigne qui ne jamais relâche. Bienheureux celui que Tu maintiens en Ton Hébétude ! Bienheureux celui qui sans ne jamais plus rien convoiter est en Ton Silence. Celui-ci est un Zéphyr qui vient de loin et en cette proximité, Tu es Celui qui adoucit L’Exil. Tu parachèves les Signes qui révèlent l’ultime Enseignement et Tu clos chaque question en apposant aux réponses Le Sceau des Sphères de La Conscience. En Elles sont les exponentialités qui donnent au voyageur la dimension de La Reliance. Alors le servant baisse la tête et dit : Tu m’as donné à voir. Ce sont les lambeaux de L’Illusion, devenus misère qui se découvre et chaque acte en la non-conscience est éloignement de La Réalité. Lors que Tu nous donnes Le Regard Témoin, il n’est plus aucune couverture venant alimenter l’illusion. Tu donnes à L’Âme Le Consolateur et les paroles, qui le donnent encore à l’enseignement. Nul figement, nul enfermement. La Conscience-Lumière progresse et s’achemine en ce couloir concentrique. Il n’a jamais été question de autre-que-Toi. Qui oserait demander une quelconque station ? Qui oserait demander une quelconque faveur ? Toi Seul es La Préoccupation. Ce qui communément se déploie en la vie quotidienne et qui ne trouverait pas Reliance serait à devenir une sorte de crispation et de compulsion car Seule La Lumière cherche La Lumière. Bienheureux celui à qui Tu octroies L’Œil observateur de La Dualité et qui le maintiendrait en La Vigilance. Bienheureux celui que Tu vêts du manteau de La Sincérité. Bienheureux celui à qui Tu donnes la lucidité de L’Unification. Il n’est rien de plus difficile que la constance et Toi Seul es Le Patient en ce chemin. Aucune Conscience ne connaît La Voie qui mène vers Toi si ce n’est La Tienne. Lumière sur Lumière en Ces épousailles de La Matière et de L’Esprit. Lumière sur Lumière en L’Intention Une en Ton Intention. Place-toi, Ô Servant, en cet alignement du Temps Zéro et agrée L’Accueil. Entre en cette Alliance de La Confiance. Rectitude qui corrige les dérives et, sans cesse en Le Kun Fa Ya Kun, La Parole s’unifie en La Conscience du Vivant. Rien n’est plus inerte que l’absence. Il te guide en La Bienveillance. De L’Exil, tu connais les aspérités et tu connais les épreuves. Néanmoins, Ô servant, tu vis en ce constat, émerveillé de L’Effet. Celui-ci t’ouvre à L’Intelligence que ce Regard bienveillant te donne à voir. Chaque effort est une invitation et chaque absence est un déni. N’enfouis pas ton être en ta cécité. N’ensevelis pas La Lumière qui est Ta Compagne. Regarde-toi et connais-toi. Connais-toi ! Connais-toi !
* * *
Aujourd’hui, nous savons que chaque acte est à révéler notre réalité. Chaque acte qui ne se vit pas en La Triade, c’est-à-dire en L’Intention reliée en Lui est un acte caduque en la séparation duelle et qui renforce l’illusion, Maya.
La plupart du temps, nous fuyons en ne sachant pas que notre fuite reproduit exactement le voyage en son ombre. Tout ce que nous sommes cherche l’union, l’unification, la pérennité.
Océan sans rivage
Se lit aussi sur Naissance et connaissance
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