Blason (ancien) de Pont-de-Veyle (Ain, Rhône-Alpes)
C’est en La Singularité, suspendue au Regard du Temps qui n’est plus, qu’il n’est aucune absence, ni aucun manque ressenti, et je te dirai assurément qu’il n’est de Réalité du Temps que Un, or, je sais que tu comprendras aisément l’allusion, lors que ton propre Souffle s’aligne au rythme Seigneurial. Comprends, Noble Ami, que la bienveillance est en cette observation de L’Exponentielle Présence. Il est des âmes qui marchent si loin, qu’un jour, elles restent uniquement et exclusivement en L’Amour. L’Amour est La Perpétuelle Question à La Bouche de La Réponse. Comprends cette légèreté, or ne t’ai-je pas confié que le versant de La Rigueur a pour Nom La Miséricorde et qu’au basculement de la crucialité, il est une sublimité que l’on sait soudain se nommer Beauté ? Toute souffrance est à te révéler la distance, mais elle est aussi à te révéler Le Lieu. Ne t’ai-je pas dit : Il est Beau et aime La Beauté ? Or, en ces yeux crépusculaires, L’Aube est Rosée de Beauté. Es-tu petite fourmi extatique sur le chemin de Bonheur, lors que les grappes au vent épousent les doux mouvements ? Il est Temps, t’ai-je encore dit, lors que La Larme glisse jusqu’au cœur impénétrable. Il est un Encens qui devient volute de La Parole. Sache-le et nous avons rejoint L’Autre Rive d’avoir perçu Son Regard. Il s’est évanoui au pas de la fourmi qui court. Ne t’ai-je pas dit que L’Inspir et L’Expir sont Le Nom qui renouvelle tous les moments de La Pérégrination et tout en les reliant donne L’Un ? Comment s’identifier, lors que La Vie exprime un Echo, un Echo, un Echo… En ce Temps de L’Être, il n’est de Réalité que La Sienne qui reconnaît, reconnaît, reconnaît. En Ton Souffle du Prétexte, Tu ouvres, Ô Ouverture du Cœur invisible, Ô Cœur du Royaume de La Reliance. Et c’est en Toi qu’est La Seule Vie. Je veux mourir au sourire de Tes Retrouvailles et expirer à La Bouche de Ton Ciel. Chaque moment est Ton Appel, Ton Appel… et je cours sur le chemin. Il s’est offert, Le Pont de Ton Étendard, Flottant aux écumes de Ton Océan. En ce Centre, vois-tu Le Soleil se coucher en Son Berceau ? Il a rassemblé Les fragments. La Solitude est L’Enfer de L’ignorance qui se cogne aux mille balbutiements sans comprendre leur cohérence. L’Echo est ce qui se féconde en ce Temps qui marque Le Silence. Ô cessation du bruit ! Car, il est un bruit qui est ignorance de La Présence. Qui s’arrête et entend ?
Je te parlerai de cette Réalité née en La Réalité et je te parlerai de ce qui nous fait entrer en La Paix. Médite sur ce qui va suivre : sache que celui qui s’identifie à cette vie manifestée est à exprimer le désir à peine avoué du dû. Tout ce qui t’apparaît comme légitimité existentielle est de fait à te montrer la puissance de ton illusion. La plus difficile des choses à comprendre est l’illusion de l’identification. Pourtant tous les maux de l’humanité viennent de là. Comprends-bien…
Océan sans rivage
Se lit aussi sur Naissance et connaissance
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