Composition de l'auteur
(D'après le blason de Hažín nad Cirochou, Slovaquie)
Le goupil part en chasse au travers des vallons,
Dévorant des poussins et des perdrix sans nombre ;
Il est craint des oiseaux, ce prédateur de l’ombre,
Et n’a jamais séduit de petit prince blond.
Une vipère, en vain, veut mordre son talon;
Le chanceux carnassier s’en tire sans encombre,
Et parcourt à nouveau, dans la nuit chaude et sombre,
L’interminable plaine, aimée des étalons.
Par l’âge sa vigueur n’est pas diminuée,
Son fier esprit n’est pas perdu dans les nuées,
Mais toujours il poursuit la poule éperdument.
Le coq, en le voyant, son bel honneur ravale ;
Affronter l’adversaire, il n’y tient nullement,
Il n’est pas le plus fort, alors il se cavale.
Cochonfucius
Le goupil part en chasse au travers des vallons,
Dévorant des poussins et des perdrix sans nombre ;
Il est craint des oiseaux, ce prédateur de l’ombre,
Et n’a jamais séduit de petit prince blond.
Une vipère, en vain, veut mordre son talon;
Le chanceux carnassier s’en tire sans encombre,
Et parcourt à nouveau, dans la nuit chaude et sombre,
L’interminable plaine, aimée des étalons.
Par l’âge sa vigueur n’est pas diminuée,
Son fier esprit n’est pas perdu dans les nuées,
Mais toujours il poursuit la poule éperdument.
Le coq, en le voyant, son bel honneur ravale ;
Affronter l’adversaire, il n’y tient nullement,
Il n’est pas le plus fort, alors il se cavale.
Cochonfucius
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