Il est un Fleuve infini dont les Mains sauvages
Apaisent toutes nos langueurs et du Cœur envolé
Contemple La Joie, et Le Défi qui ne point ravage,
Est cette Phrase soufflée par L’Ami : allez, allez…
N’est-ce pas alors un Jour nouveau qui nous arrive,
Lors qu’aucune ride imperceptible n’a offensé
Les Terres de nos Pères, et qu’en cette Rive,
Le Temps exulte et que Tout en Lui a commencé ?
Ces larmes inconsolables qui par nos lourdes fautes
Conquièrent L’Empyrée, lors qu’en Lui se sont baignées.
Les cimes de douces volutes et d’aspirations hautes
Nous ont cherchés, et en leur fougue nous ont trouvés.
J’ai posé fragile ma joue sur Ta Joue tendre.
D’Amour éternel, me suis donc laissée éprendre ?
Océan sans rivage
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