Blason de Pöllau (Styrie, Autriche)
Cent mille contemplatifs s’élèvent en L’Oratoire
Des prémices pour les Hommes qui de fidélité,
Ont soif et Te servent en leur ultime Espoir.
Une Seconde s’écoule et Ô sublimité !
Apparue en La Matière qui est L’Existence,
De Toi, comment puis-je proclamer mon Néant ?
Te voir puis Te nier est pire qu’une indécence ;
C’est de me prosterner que danse le firmament.
Me voudrai-je brûler par mon indifférence ?
Lors que Le Compagnonnage grandit d’intimité,
Alors L’Âme reconnaît L’Autre en L’Évidence.
Nous élever est Magie de La Transcendance.
En Cela qui devient Ta pure Contemplation,
S’efface ce qui se voulut n’être qu’une illusion.
Le Chant du Barde
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire