Parcourant les vastes plaines au goût de Ton Silence,
Lors que les yeux s’attardent sur La Cime sacrée,
Quelque chose nous enlace de Ton immensité.
Ce corps existe de par La Grâce de Ton Essence.
L’Âme survit au siècle, mais las, perd son innocence,
Tandis que le printemps mûrit tout hébété ;
De candeur, le ruisseau s’est alors exclamé :
Je m’unis aux floraisons de l’incandescence.
La Vie commence de n’avoir jamais fini,
Et de fougue, épouse chaque grain de la noble chair.
Tes mains qui l’ont pétrie me parlent de Ton Mystère.
En elle, je découvre toutes sortes d’allégories !
Ce sont les hirondelles de Mai qui me surprennent.
Leur joyeuse danse est aussi Le Trésor pérenne.
Océan sans rivage
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