Blason de Bénac (Hautes-Pyrénées, Occitanie)
L’Amour du Merle M’appelle.
Quelque Chose frémit :
C’est là que je suis.
Quelque Chose frémit :
C’est là que je suis.
Souvent, je monte sur les hauteurs
Comme pour sonder en mon cœur,
Le Ciel qui de ma torpeur,
Entre en Silence.
Comme pour sonder en mon cœur,
Le Ciel qui de ma torpeur,
Entre en Silence.
Le silence nous tient éveillé.
Des vagues de Son Éloquence,
Il est encore à nous étonner.
A la fontaine, L’Arbre nous a appelée.
Des vagues de Son Éloquence,
Il est encore à nous étonner.
A la fontaine, L’Arbre nous a appelée.
Le blé ondoie au vent printanier.
De joie entendue, il cache un secret :
Quelques lapins que l’on poursuit.
Sans doute, l’enfant émerveillé.
De joie entendue, il cache un secret :
Quelques lapins que l’on poursuit.
Sans doute, l’enfant émerveillé.
Les nuages sans cesse chavirent,
D’Éclosions multiples et de rire.
Léger, sur les toits, un pinson.
Auprès de lui, je scrute l’horizon.
D’Éclosions multiples et de rire.
Léger, sur les toits, un pinson.
Auprès de lui, je scrute l’horizon.
A ma porte, tu vins.
Quelle est donc cette Beauté ?
Sur mon cœur, je t’ai porté.
Veuille ne jamais t’envoler !
Quelle est donc cette Beauté ?
Sur mon cœur, je t’ai porté.
Veuille ne jamais t’envoler !
Mille corbeaux
Troublent parfois nos mots.
Leurs ailes fendent les coteaux.
J’ai vu passer Le Ciel.
Troublent parfois nos mots.
Leurs ailes fendent les coteaux.
J’ai vu passer Le Ciel.
Océan sans rivage
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire