Mon cœur est pâle comme la tristesse.
Tremble l'horizon aux sillons de l'aurore,
Des douces plaintes de l'ivresse,
Quand s'attardent les prémices d'une mort.
La ronde est une fugue sauvage,
S'extasie aux pieds des orangers.
Le murmure subtil est un adage,
Quand la lumière éclose est fleuronnée.
Que ma belle à son balcon
Soit, puisque la lune s'y suspend !
Que tous les luths d'Orient
Soient Gracieuses et langoureuses chansons !
Les prières effleurent les plaines en repos,
Les amants s'évanouissent en un sanglot.
Ces anciennes tours raillent les mortels.
L'on en oublie la sagesse éternelle.
Cantique virginal d'une Dame
Du délice suprême qui ruisselle
Quand jaillit l'effusion de l'âme,
Le ciel y trempe ses lèvres.
Tremble l'horizon aux sillons de l'aurore,
Des douces plaintes de l'ivresse,
Quand s'attardent les prémices d'une mort.
La ronde est une fugue sauvage,
S'extasie aux pieds des orangers.
Le murmure subtil est un adage,
Quand la lumière éclose est fleuronnée.
Que ma belle à son balcon
Soit, puisque la lune s'y suspend !
Que tous les luths d'Orient
Soient Gracieuses et langoureuses chansons !
Les prières effleurent les plaines en repos,
Les amants s'évanouissent en un sanglot.
Ces anciennes tours raillent les mortels.
L'on en oublie la sagesse éternelle.
Cantique virginal d'une Dame
Du délice suprême qui ruisselle
Quand jaillit l'effusion de l'âme,
Le ciel y trempe ses lèvres.
Océan sans rivage
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire