De gueules à la foi de carnation vêtue de sable.
Ton nom, Ô Poète, est à la brise des branchages,
Le Souffle d'un fleuve que caressent nos pieds,
Les galets qui glissent en cette paix retrouvée,
Tandis que des effluves nous révèlent l'armoise.
Les mots sont tels l'écume de L'Eau qui s'écoule,
Rivés à nos moments qui semblent fugaces.
Hébétés, nous le sommes du Temps qui passe.
Voici Le Jardin que nos âmes savourent.
Ton nom, Ô Poète, en ces contrées, voyage encor,
Des douceurs et des aspérités que retient
Ma mémoire, et c'est mon cœur qui te rejoint
En ce qui ne jamais commence, ni ne s'achève.
Je suis à Tes pieds, en Lui, et m'abandonne.
D'un Pacte solennel, notre Amitié se scelle.
Ton nom, Ô Poète, est à la brise des branchages,
Le Souffle d'un fleuve que caressent nos pieds,
Les galets qui glissent en cette paix retrouvée,
Tandis que des effluves nous révèlent l'armoise.
Les mots sont tels l'écume de L'Eau qui s'écoule,
Rivés à nos moments qui semblent fugaces.
Hébétés, nous le sommes du Temps qui passe.
Voici Le Jardin que nos âmes savourent.
Ton nom, Ô Poète, en ces contrées, voyage encor,
Des douceurs et des aspérités que retient
Ma mémoire, et c'est mon cœur qui te rejoint
En ce qui ne jamais commence, ni ne s'achève.
Je suis à Tes pieds, en Lui, et m'abandonne.
D'un Pacte solennel, notre Amitié se scelle.
Océan sans rivage
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