Éphéméréité de L'Esprit Éthéré
Lors que s'estompe La Nuit et que Le Jour s'élève,
Lors que Le Temps se suspend à Tes Lèvres,
Lors que les plissements sont des pétales de rosées,
Lors que les visions s'offrent en ces nues,
Que le cœur tressaute et s'émeut de Toi,
Que les ondes fluviales sont Ton Inconnu,
Et que subtilement se fait entendre Ta Voix,
Voici l’Effusion d'un Joyau suspendu au Ciel,
Voici les Coupes juvéniles de Ton pur Amour,
Voici les soies de Ton Toucher et La Voûte
Ondoyante de Lumière, que des rivières éternelles
Unissent en des élans languissants et faits de velours,
Voici donc les affleurements qui m’envoûtent.
Océan sans rivage
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire